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K**R
Amazing prediction for the future
Jean Raspail's work was amazingly prescient for today's immigration issues and the reaction of Western nations in their reactions.
A**R
Very good book.
It is in French.
R**E
Futuristic and realistic. Well written in a clear language ...
Futuristic and realistic . Well written in a clear language.
H**S
C'est un livre dur et raciste ou l'on a des ...
C'est un livre dur et raciste ou l'on a des difficultés à trouver la véritable pensée de l'auteur. Il détruit tout renie tout. Je regrette de l'avoir acheté mais je l'ai lu jusqu'à la dernière page , ce qui n'a fait que confirmer mes sentiments premiers.
G**E
I wanted the book in ebglish
It’s in French
M**I
It is an interesting and in some way 'prophetic' novel ...
It is an interesting and in some way 'prophetic' novel. Many of the author's remarks sound quite racist indeed. Nevertheless, it deserves to be read as an unconventional point of view on an extremely actual issue.
P**L
Une vraie question, mais pourquoi tant de haine ?
Tout commence en France par l’invasion d’un million d’immigrés en provenance d’Inde. Un million! Au dernier degré de la misère, en route vers la France. Et comment réagissent les autres pays, pensez-vous, en voyant tous ces navires se rapprocher de leurs côtes, puis continuer leur route vers « le pays des droits de l’homme » ? L’armada du Gange s’avance « dans la merde et la luxure » (sic, p. 156). Quatre-vingt -dix-neuf navires alignés sur deux files conduites par deux grands paquebots rouillés (l’India Star et le Calcuta Star) font route vers la France, vers l’Occident où « ruissellent le lait et le miel » (p. 154). C’est une flotte d’envahisseurs en provenance du Tiers Monde. Ses armes sont la faiblesse, la misère, la pitié (p. 177).Quand on sait qu’il était (est) question pour l’Allemagne d’Angela Merkel d’accueillir un million d’immigrés, on imagine le « copier-coller » entre ce que J. Raspail décrit et ce que l’Allemagne pourrait craindre. L’Allemagne, puis, l’Europe. Du moins, les Pays de l’Union européenne puisqu’il n’y a plus de frontières. Sauf certains mauvais ( !?) élèves qui rechignent à « ouvrir leurs frontières » ? Et vous-même, qu’en pensez-vous ?Je ne résumerai pas ce livre, d’autres l’ont déjà fait. Mais je vais essayer de préciser pourquoi ce livre déclenche (à juste titre) tant de débats passionnés. Précisons tout de go qu’il ne fait aucun doute que les positions personnelles du lecteur orienteront irrémédiablement l’évaluation de ce livre que je qualifierai de brûlot : c’est un livre méchamment polémique, susceptible même de causer des dommages, parce qu’il adopte des positions extrémistes. Mais cela n’empêche pas que ce livre pose (de manière ultime) de vraies questions. Il faut avoir le courage de le reconnaître, même si on sait que la radicalisation est un processus lent, pervers, subtil qui commence par de petits riens, ou presque. Peut-on oublier comment une nation entière « petit à petit’ a suivi Hitler ? Peut-on oublier à quoi cela a conduit ? A quel moment, l’individu fait-il le « pas de trop »? Aborder la question, est-ce déjà un pas de trop ?Quels que soient les sentiments qui habitent le lecteur de ce roman, on se doit de reconnaître, qu’en publiant ce livre en 1973, Jean Raspail était un visionnaire. Le thème n’est - in fine - rien moins que la disparition totale de la race blanche ; pas la survie (un thème défendu entre autres par les plus radicaux de l’extrême droite américaine), non : la totale disparition. Oui, vous avez bien lu : il s’agit dans « Le camp des Saints » [devinez qui sont les Saints et comment l’auteur qualifie « les autres » ?] de la disparition définitive de la civilisation occidentale. Excusez du peu ! Oui, c’est actuel, oui, c’est effrayant. Pour peu que vous soyez vous-même un européen évidemment et pas un immigré tiers-mondiste …Reconnaissons en effet que nombreux, très nombreux, ont été les commentateurs (de tous bords) qui ont interprétés les attaques du 11 septembre 2001 comme le point de départ d’une guerre de civilisation ; faut dire que dans tous les livres d’histoire, on évoque un fait particulier qui déclenchera la première guerre mondiale (suite à l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand et de sa femme par un Bosniaque lors d'une visite à Sarajevo , l'Autriche-Hongrie déclarera la Guerre à la Serbie, soupçonnée d'avoir préparé l'attentat). Qui sait comment dans 100 ans, les horreurs perpétrées par Bin Laden et ses sbires seront qualifiées ? Qui sait ce qu’il sera advenu de l’Europe ?Et l’auteur de rappeler (à juste titre, convenons-en) que des civilisations naissent, grandissent, connaissent leur apogée et finissent étiquetées dans les vitrines de nos musées (p.365). Elles disparaissent progressivement (les Sumériens) ou brusquement : de quand date le déclin de la civilisation romaine ? De 378, quand l’armée romaine fut battue par les Goths ou de 410 quand Rome fut pillée par le chef goth Alaric Ier ?La presse, les débats télévisés, les points de vue d’experts sur toutes les radios, n’évoquent-ils pas régulièrement la disparition de « notre » civilisation aux bases gréco-romaines et chrétiennes ?On ne peut donc que reconnaître la pertinence du thème abordé.Ce qui dérange, trouble, perturbe, horrifie finalement, c’est le ton du récit. C’est (à mes yeux) l’horreur totale. Je n’avais jamais lu un texte dans lequel la haine suinte, déborde, se répand finalement sur tout ce qui bouge. Les exemples sont légion, débordent ou dégoulinent à chaque page. L’impression finale est particulièrement éprouvante (j’ai eu un mal fou à terminer ce livre), parce qu’il ne reste rien : les émigrés n’apportent que dégradations, destructions, ravages, c’est un peuple de rats (sic), coprophages (sic), qui vivent, jeunes comme vieux, dans une lubricité de bas niveau : « Le Gange émigrant puait comme jamais l’Inde charnelle n’avait pué » (p. 152), on abat l’homme blanc dans les mêmes abattoirs que ceux où on abat les porcs (p. 298), ‘le Tiers Monde dégouline et l’Occident lui sert d’égout’ (p. 333) et les résistants (les « Saints ») tuent des immigrés de manière banale comme on tu des lapins « dans le petit monde de la chasse » (p. 376).Alors si ce livre (c’est la quatrième édition que j’ai dans les mains) a l’audace de poser un vrai problème, je ne peux m’empêcher d’écrire : mais pourquoi tant de haine ?
J**T
Roman d'anticipation ? ou visionnaire
Écrit, en 1973, il suffit de remplacer les peuples du Gange par les peuples d'Afrique.Telle est notre époque..
F**F
Terrific and terrifying
Recommended to everybody for the importance of the subject and the literary value of the writing. A masterpiece.
K**E
Er hat vorausgesehen, was uns blüht
Leider hat niemand auf ihn gehört :-(
C**N
Five Stars
Article comme décrit.
T**O
Rings likes a prophecy
Great author, great language, great novel... Written in the 70's the scenario is that happening in Lampedusa today... Frightening. Not sure the author would have been published in today's France....
Trustpilot
1 month ago
1 week ago